Mon amour, mon amour mon amour mon amour… On a droit de le dire trop ? On a droit de le dire trop. Au pire on en fera des cocottes en papier.
En attendant, d’ici là, dans le temps liminal d’avant le pliage, on se réjouira de la nature espiègle et voluptueuse de ce qui nous noue. Il y a des sentiers perdus qui attendent qu’on les retrouve, on s’y jette comme des aventures. Mais attends les aventures c’est nous ou les sentiers ? C’est les trois mon amour, c’est toi et moi et les chemins incertains.
On va se perdre ? On va se retrouver. On en fera un art. On en fera des poèmes. On en fera un baiser.